boualemfle
mardi 16 novembre 2010
c'etait un mot à Naoille !
C'est vrai on a commencé ,le 08/11/2010
toute l'equipe etait sur Naoille ,un mois et 24 jours depuis que j'ai quitté le pays ,
c'etait la premiére fois que je sentais que je suis assez proche de chez moi :
premierement la langue c'etait quasi le dialecte Maghrébin ...
l'odeur n'etait plus etrange à moi ce qu'etait le contraire chez ma collegue Nathalie .
Je parlais ,discutais avec les gens avec toute spontanéité ,aisance biensur l'explication de cela est facil n'oubliez pas que j'ai veçu dans le pays ou la plupart de ces personnes se sont élvées ,je connais comment ils pensent ,se sentent ici en France ...etc ,d'ailleurs Nathalie et Thibo restaient m'interroger sur les mots clés que je les ai utilisé pour prendre contacte avec eux , je leur ai dit tout simplement c'est le fameu mot algérien et précisement algéroi "KHO "
C'est facil de vous donner son equivalent en français , il vient de l'arabe classique du mot
" AKHI" frère en français,
mais vous connaissez que l'importe quelle langue est liée à une valeur sociale et culturelle donc l'equivalent ne joue qu'une simple fonction dans une traduction littérale ,ben c'est vrai Nathalie ,Thibo
le faite que je suis compétent dans ma langue maternelle ,et biensure dialectale avec mon statut d'un apprenant avancé en français je me permet de dire que je suis avec cette notion trés signalée par les linguistes la langue dialectale est plus significative et poetique .
dés que je prononce "kho ça va " la premiére reaction un sourire du coeur ,c'est bon il est dans la poche ! hha. Nathalie vas y filmer ! Thibeaut photographer et Michel questionner !
et voila on avait pas besoin de l'autorisation.
mercredi 3 novembre 2010
" marché de Noailles "
Voilla l'equipe ,on commence notre projet ethno ,vous voulez travailler sur " marché de Noailles " d'ccord Michel ,Thibaut ,Nathalie.
Retrace historique sur le marché Noaille
Retrace historique sur le marché Noaille
Noailles, premier arrondissement marseillais. Tracés anciens et rues sinueuses, immeubles parfois dégradés. Ce petit quartier qui était décrit comme «populeux, populaire, le plus commercial de Marseille » s'est progressivement fané. Les années 1970 ont vu les commerçants d'antan partir un à un. Bottiers, tripiers, liquoristes et corsetiers ont pris leur retraite. Malgré la position centrale du quartier, les fermetures de fonds se multiplient, et les valeurs foncières trébuchent. Dès le début des années 1980, un renouveau commercial s'opère : de nouveaux acteurs s'installent dans les espaces laissés vacants, modifiant l'inscription migratoire du quartier. Les commerçants d'origines maghrébine et orientale s'implantent, en forte majorité. Ils côtoient les Européens toujours présents et quelques rares, mais remarqués, commerçants venus d'Asie. Des établissements tenus par des entrepreneurs subsahariens s'ouvrent progressivement, regroupés sur quelques rues centrales du quartier. C'est sur eux que mon attention a été attirée. Nulle part ailleurs, ni dans la ville ni dans la région, on ne trouve un tel agencement commercial, une telle concentration d'entrepreneurs subsahariens. L'attrait sur la clientèle africaine, pourtant très dispersée, est important. «Chacun de nous va à Noailles, ne serait-ce que pour y trouver les produits indispensables comme les produits des cheveux, mais c'est aussi pour rencontrer les autres, parler, avoir des nouvelles. Même moi je vais à Noailles pour acheter les produits dont j'ai du mal à me passer, et là-bas je croise forcément des connaissances, des fois par hasard, ou des fois sur rendez-vous ”, explique un client camerounais, cadre supérieur.
Par cette particularité, Noailles devient «le marché africain », avec son sautoir de dix, vingt, actuellement quarante boutiques, toujours en maturation. Et l'on trouve de tout dans ce marché. Le gérant de l'épicerie subsaharienne se vente d'avoir «les condiments de l'ensemble de l'Afrique, d'Est au Sud, du Nord à l'Ouest ». La dizaine de restaurateurs s'organise pour proposer des spécialités diversifiées. Vendeurs de tissus et d'objets artisanaux, commerçants de musique, tailleurs, coiffeurs, multiplient une offre moins exotique que culturelle et «existentielle ». Et l'on défie quiconque de ne pas trouver dans la quinzaine de boutiques de cosmétique les mèches à tresser qui lui conviennent exactement... frisées, raides, épaisses ou fines, couleurs n° 1 à 32 dans cette marque, n° 0 à 40 dans cette autre... Un panel qu'aucune boutique, prise isolément, n'est en mesure de proposer. Voilà donc un espace urbain qui a reçu la patte de ces entrepreneurs d'un autre continent. Ils ont su enrichir l'identité de ce quartier assez malléable, s'organiser, structurer un approvisionnement et une diffusion de produits et de services, être représentés dans la ville...
Dans le même temps, pourtant, un mouvement contraire s'exécute à Belsunce, ce quartier entre port et gare et qui a offert l'hospitalité à bien des migrants venus dans la ville. Des ressortissants de la Vallée du Fleuve Sénégal y tenaient, depuis les années 1950 surtout, des établissements commerciaux. Mais ils ferment les uns après les autres, appuyés, c'est vrai, par la réhabilitation. Cependant, personne n'est prêt, de toute façon, à assurer la relève des «vieux » qui incarnent une première «génération » de commerçants subsahariens de Marseille. Celle-ci est représentée par des hommes surtout - anciens militaires, marins reconvertis, dockers retraités ou chômeurs – qui ont progressivement investi leur capital dans des petits entreprises commerciales[1]. Ensemble, ils ont formé une organisation commerciale masculine, fortement inscrite dans l'Islam et référée à la confrérie mouride. Oligarchique, resserrée sur une appartenance partagée, cet agencement a cependant été placé sous la tutelle du puissant dispositif maghrébin décrit par Alain Tarrius[2]. Pourtant cette formation commerciale subsaharienne se délite à partir des années 1980 : le départ des plus âgés est aggravé par le détachement des plus jeunes qui prennent leur distance et tentent de multiplier leurs ancrages[3]. Très peu réclameront une filiation et une succession commerciale. Falla, jeune commerçant mouride quitte Belsunce où il était employé et s'installe à Noailles, à deux pas de la nouvelle salle de prière de la confrérie. Cependant, il n'entretient avec son groupe religieux que les contacts nécessaires pour «garder les liens », et sans lui vouer son entreprise.
Car le contemporain des jeunes entrepreneurs subsahariens prend place ailleurs : à Noailles, de l'autre côté de la Canebière. Ce quartier actualise avec ponctualité l'événement migratoire national tel qu'il se dessine depuis le début des années 1980. Il incarne – à son échelle – les nouvelles circulations de l'Afrique subsaharienne vers la France marquées par un éclatement et un renversement des tendances[4]. Les nouveaux commerçants qui s'installent à Noailles représentent l'ensemble du vaste territoire situé au sud du Sahara. Et ce sont des femmes, beaucoup. Leur présence est survisibilisée dans ces boutiques de Noailles et l'on peut estimer à 80 % les acteurs féminins qui y interviennent. Mais il s'agit également de personnes jeunes, âgées d'une trentaine d'années. De l'un ou de l'autre sexe, ils ont vécu, un moment au moins, dans les grandes capitales africaines. Les petits points que forment ces acteurs sur la carte commerciale du quartier revendiquent presque autant de villes : Bangui, Brazzaville, Ouagadougou, Lagos, Douala, Yaoundé, Bamako, Lomé, Cotonou, Dakar, Abidjan... autant de langues, de religions, de cultures... et de croisement d'itinéraires singuliers. Mais tous se disent compatriotes. Cette composante, qui respecte la photographie tirée des statistiques migratoires, s'en éloigne pourtant sur un point : ces jeunes adultes ont été, pour la plupart, déscolarisés assez tôt et ne peuvent revendiquer d'acquis professionnels valides en France. Les démarches administratives, institutionnelles et comptables exigées par leur entreprise n'en sont que plus contraignantes... et soldent de nombreuses cessations. Cette première fragilité contribue au turn-over important d'acteurs, de fonds, de partenaires et d'itinéraires commerciaux qui traversent successivement ces boutiques, rebondissent d'un établissement et d'une activité à l'autre.
Ces nouveaux entrepreneurs, malgré leurs disparités, convergent vers un objectif qui marque une rupture avec la génération précédente et les éloigne du système fortement hiérarchisé rencontré à Belsunce. Ils ont, selon leurs termes, «tout laissé derrière eux », «tout abandonné » pour «chercher l'aventure », «chercher la vie », «chercher l'argent », «se chercher soi ». S'efforçant d'atténuer les contraintes liées aux systèmes de pouvoir et d'obligation, ils poursuivent des projets plus personnels[5] et tentent de les réaliser au travers d'une nouvelle émergence commerciale, le plus souvent sans véritable capital. Ceux qui veulent «à tout prix » incarner l'image idéalisée de l'homme ou de la femme d'affaires, misent «le tout pour le tout », s'élancent au «coûte que coûte » vers le succès comme vers l'échec. Serait-il que ces aventuriers n'aient rien à perdre ? Emilie se bat, «je veux gagner la vie. La vie, ça veut dire l'argent, l'amour (...) C'est trouver un nom », un nom, plus personnel encore qu'une renommée. L'engagement de Lucette dans le commerce est une aventure pour «se réaliser ». Selon Lisa, le commerce est un «épanouissement ». Pour Sylvain, c'est «une drogue, qui permet de tenir ». Soya, elle, parle d'un «fortifiant ».
On peut légitimement s'interroger sur la place que l'initiative commerciale occupe dans ces itinéraires, s'interroger sur les projets qu'elle soutient. Si, comme le rappelle Lucette, «le commerce c'est un métier, c'est d'abord pour manger à notre faim ».
Par cette particularité, Noailles devient «le marché africain », avec son sautoir de dix, vingt, actuellement quarante boutiques, toujours en maturation. Et l'on trouve de tout dans ce marché. Le gérant de l'épicerie subsaharienne se vente d'avoir «les condiments de l'ensemble de l'Afrique, d'Est au Sud, du Nord à l'Ouest ». La dizaine de restaurateurs s'organise pour proposer des spécialités diversifiées. Vendeurs de tissus et d'objets artisanaux, commerçants de musique, tailleurs, coiffeurs, multiplient une offre moins exotique que culturelle et «existentielle ». Et l'on défie quiconque de ne pas trouver dans la quinzaine de boutiques de cosmétique les mèches à tresser qui lui conviennent exactement... frisées, raides, épaisses ou fines, couleurs n° 1 à 32 dans cette marque, n° 0 à 40 dans cette autre... Un panel qu'aucune boutique, prise isolément, n'est en mesure de proposer. Voilà donc un espace urbain qui a reçu la patte de ces entrepreneurs d'un autre continent. Ils ont su enrichir l'identité de ce quartier assez malléable, s'organiser, structurer un approvisionnement et une diffusion de produits et de services, être représentés dans la ville...
Dans le même temps, pourtant, un mouvement contraire s'exécute à Belsunce, ce quartier entre port et gare et qui a offert l'hospitalité à bien des migrants venus dans la ville. Des ressortissants de la Vallée du Fleuve Sénégal y tenaient, depuis les années 1950 surtout, des établissements commerciaux. Mais ils ferment les uns après les autres, appuyés, c'est vrai, par la réhabilitation. Cependant, personne n'est prêt, de toute façon, à assurer la relève des «vieux » qui incarnent une première «génération » de commerçants subsahariens de Marseille. Celle-ci est représentée par des hommes surtout - anciens militaires, marins reconvertis, dockers retraités ou chômeurs – qui ont progressivement investi leur capital dans des petits entreprises commerciales[1]. Ensemble, ils ont formé une organisation commerciale masculine, fortement inscrite dans l'Islam et référée à la confrérie mouride. Oligarchique, resserrée sur une appartenance partagée, cet agencement a cependant été placé sous la tutelle du puissant dispositif maghrébin décrit par Alain Tarrius[2]. Pourtant cette formation commerciale subsaharienne se délite à partir des années 1980 : le départ des plus âgés est aggravé par le détachement des plus jeunes qui prennent leur distance et tentent de multiplier leurs ancrages[3]. Très peu réclameront une filiation et une succession commerciale. Falla, jeune commerçant mouride quitte Belsunce où il était employé et s'installe à Noailles, à deux pas de la nouvelle salle de prière de la confrérie. Cependant, il n'entretient avec son groupe religieux que les contacts nécessaires pour «garder les liens », et sans lui vouer son entreprise.
Car le contemporain des jeunes entrepreneurs subsahariens prend place ailleurs : à Noailles, de l'autre côté de la Canebière. Ce quartier actualise avec ponctualité l'événement migratoire national tel qu'il se dessine depuis le début des années 1980. Il incarne – à son échelle – les nouvelles circulations de l'Afrique subsaharienne vers la France marquées par un éclatement et un renversement des tendances[4]. Les nouveaux commerçants qui s'installent à Noailles représentent l'ensemble du vaste territoire situé au sud du Sahara. Et ce sont des femmes, beaucoup. Leur présence est survisibilisée dans ces boutiques de Noailles et l'on peut estimer à 80 % les acteurs féminins qui y interviennent. Mais il s'agit également de personnes jeunes, âgées d'une trentaine d'années. De l'un ou de l'autre sexe, ils ont vécu, un moment au moins, dans les grandes capitales africaines. Les petits points que forment ces acteurs sur la carte commerciale du quartier revendiquent presque autant de villes : Bangui, Brazzaville, Ouagadougou, Lagos, Douala, Yaoundé, Bamako, Lomé, Cotonou, Dakar, Abidjan... autant de langues, de religions, de cultures... et de croisement d'itinéraires singuliers. Mais tous se disent compatriotes. Cette composante, qui respecte la photographie tirée des statistiques migratoires, s'en éloigne pourtant sur un point : ces jeunes adultes ont été, pour la plupart, déscolarisés assez tôt et ne peuvent revendiquer d'acquis professionnels valides en France. Les démarches administratives, institutionnelles et comptables exigées par leur entreprise n'en sont que plus contraignantes... et soldent de nombreuses cessations. Cette première fragilité contribue au turn-over important d'acteurs, de fonds, de partenaires et d'itinéraires commerciaux qui traversent successivement ces boutiques, rebondissent d'un établissement et d'une activité à l'autre.
Ces nouveaux entrepreneurs, malgré leurs disparités, convergent vers un objectif qui marque une rupture avec la génération précédente et les éloigne du système fortement hiérarchisé rencontré à Belsunce. Ils ont, selon leurs termes, «tout laissé derrière eux », «tout abandonné » pour «chercher l'aventure », «chercher la vie », «chercher l'argent », «se chercher soi ». S'efforçant d'atténuer les contraintes liées aux systèmes de pouvoir et d'obligation, ils poursuivent des projets plus personnels[5] et tentent de les réaliser au travers d'une nouvelle émergence commerciale, le plus souvent sans véritable capital. Ceux qui veulent «à tout prix » incarner l'image idéalisée de l'homme ou de la femme d'affaires, misent «le tout pour le tout », s'élancent au «coûte que coûte » vers le succès comme vers l'échec. Serait-il que ces aventuriers n'aient rien à perdre ? Emilie se bat, «je veux gagner la vie. La vie, ça veut dire l'argent, l'amour (...) C'est trouver un nom », un nom, plus personnel encore qu'une renommée. L'engagement de Lucette dans le commerce est une aventure pour «se réaliser ». Selon Lisa, le commerce est un «épanouissement ». Pour Sylvain, c'est «une drogue, qui permet de tenir ». Soya, elle, parle d'un «fortifiant ».
On peut légitimement s'interroger sur la place que l'initiative commerciale occupe dans ces itinéraires, s'interroger sur les projets qu'elle soutient. Si, comme le rappelle Lucette, «le commerce c'est un métier, c'est d'abord pour manger à notre faim ».
jeudi 21 octobre 2010
Le plurilinguisme des individus ,et la politique européenne
Depuis pas mal de temps on entend parler du plurilinguisme en Europe ,est-ce-que c'est un terme lié à une réalité présente au sein du vieux continent ,ou une orientation politique linguistique qui s'appuie sur lui?
le Conseil de l’Europe définit le plurilinguisme comme l’aptitude de l’individu à puiser dans un répertoire de savoir faire et de connaissances dans plusieurs langues pour faire face aux situations de communication les plus variées.
En effet , l'école a été souvent le reflet de systèmes éducatifs dont ces derniers répondent à une idéologie nationaliste ,actuellement on constate que l'éducation des états européens est ouverte à l'apprentissage des langues étrangères et particulièrement l'acquisition des langues du territoire européen ,cela ne constitue
qu'une démarche éducative politique adoptée par l'Europe afin que ce dernier puise atteindre son objectif ,
celui de constituer une identité européenne ,sachant que les variétés linguistiques et culturelles existant posent des contraintes dans le chemin de l'intégration européenne.
Donc le meilleur moyen qui peut affranchir ces obstacles c'est de mettre en place un enseignement plurilingue efficace .
le Conseil de l’Europe définit le plurilinguisme comme l’aptitude de l’individu à puiser dans un répertoire de savoir faire et de connaissances dans plusieurs langues pour faire face aux situations de communication les plus variées.
En effet , l'école a été souvent le reflet de systèmes éducatifs dont ces derniers répondent à une idéologie nationaliste ,actuellement on constate que l'éducation des états européens est ouverte à l'apprentissage des langues étrangères et particulièrement l'acquisition des langues du territoire européen ,cela ne constitue
qu'une démarche éducative politique adoptée par l'Europe afin que ce dernier puise atteindre son objectif ,
celui de constituer une identité européenne ,sachant que les variétés linguistiques et culturelles existant posent des contraintes dans le chemin de l'intégration européenne.
Donc le meilleur moyen qui peut affranchir ces obstacles c'est de mettre en place un enseignement plurilingue efficace .
mercredi 13 octobre 2010
Mes idées sur le projet
je veux travailler mon projet sur la ville de Marseille ,et particuliérement sur l'un de ses quartiers. Le fait que cette ville reflète une pluralité linguistique et culturelle cela me donne la possibilité d'integrer une dimension socio-culturelle et ethnologique dans le projet visé, dont ce dernier va mettre l'accent sur la vie quotidienne des habitants ;comment -ils vivent...,comment -ils se sustentent ..etc.
mardi 12 octobre 2010
mercredi 6 octobre 2010
Mon Projet Ethno !
la ville la plus dynamique et peuplée Marseille ,je trouve l'un de ses marchés le noaille, le meilleur endroit pour exploiter
mon projet ethnologue ,dans lequel je vais baser mon enquête terrain sur la relation quotidienne entre le commerçant et son client ,tout en interrogeant les deux .
Vos commentaires !!!
mon projet ethnologue ,dans lequel je vais baser mon enquête terrain sur la relation quotidienne entre le commerçant et son client ,tout en interrogeant les deux .
Vos commentaires !!!
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